Malgré la taille réduite de notre échantillon, ce questionnaire nous permettent de dégagée une vision globale au niveau des processus de financement des PME de la région d’Agadir et d’éclairées certains sources de vulnérabilité et notamment en ce qui concernent les modalités proposées.
        Comme les PME national, celles de la région aussi rencontrent d’une part des difficultés internes, liée à la gestion de la trésorerie (insuffisance du fonds de roulement, manque de liquidité..) et aux besoins illimitées des cycles d’exploitation et d’investissement, et d’autre part des difficultés externes liées à l’accès aux crédits bancaires (des procédures compliquées, des taux d’intérêt très élevé, des garantie énormes…)
 Pour remédier à ces difficultés, les PME ont le choix de plusieurs mode de financement  pour développé et élargi leurs activités, Mais ces entreprises reste basée sur des modalités traditionnelles, et n’ont pas encours accès aux nouvelles modalités (sociétés de capital-risque malgré les avantages portés  par ces sociétés), ce que laisse ces dernies non compétitifs et ayant des structures fragiles.















 Les PME représentent le centre névralgique de l’économie national et considéré comme le moteur de la croissance économique. Elles participent au développement du tissu productif (création de la valeur ajoutée) du pays et à la promotion sociale.
Les opportunités offert aux PME au niveau nationale et même international, exigent a ces dernières de devient plus en plus compétitives pour faire face aux menace de la concurrence et de la libre échange. Cette  compétitivité exige l’existence d’un facteur essentiel représenté par des ressources financières suffisantes.
            L’autofinancement est la modalité la plus courante sur laquelle la plupart des entrepreneurs est basées pour démarrer ses activités. Mais ce financement interne est rarement suffisant à financer la croissance de l'entreprise, alors, elle est amenée à tourner vers le financement externe (secteur bancaire qui est le plus visé par les PME dans les pays en voie de développement) qui même présente certains avantages pour la croissance de ces dernières, et par conséquent le système bancaire doit leur offrir des solutions plus simples et des opportunités plus attractives que les solutions classiques qui ont montré leurs limites (procédures compliqué) . Le capital risque est considéré comme une nouvelle source externe de financement, mais jusqu'à aujourd’hui le nombre des entreprises accès à ce mode reste très réduite, cela est le résultat de manque d’information concernant les sociétés de capital-risque ou bien au nombre réduite de ces dernières.
            Actuellement, le principal obstacle qui entrave son développement reste le problème de financement, soit par la faiblesse des moyens de financement, soit par la complexité des procédures à suivre pour octroyer des crédits.
Alors, il faut encourager les PME pour sortir de la situation de vulnérabilité et de faiblesse, Pour cela, l’Etat a appliqué un ensemble des mesures, Ces dernières, bien qu’importantes et nécessaires, ont cependant peu de conséquence immédiate sur la mise à niveau des entreprises.                                                                                                                                                 Alors, elles doivent s'organiser pour mieux agir, exploiter rationnellement ses ressources, diffuser à grande échelle ses produits, anticiper le comportement des différents intervenants et faire défendre ses intérêts dans le but de continuer à assurer son existence.
Bibliographie
Ø Loi N° 53-00 formant charte de la PME
Ø  « Mission Économique » Les PME-PMI marocaines face au défi de la mise à niveau



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