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Le martin-chasseur cannelle        
Le martin-chasseur cannelle ou martin-chasseur de Micronésie est un petit oiseau qui se nourrit d’insectes, mais aussi de petits reptiles et de crustacés.

Il est brun avec quelques nuances bleues sur les ailes et la tête. Les nuances bleutées sont réservées aux mâles, les femelles possèdent un menton et une gorge de couleur blanche. L’animal ne pèse pas plus de 80 grammes. Son territoire d’origine est restreint, on ne le trouvait que dans quelques îles du Pacifique : Palau, Ponphei et Guam.

         Martin-pêcheur cannelle vu mâle

Le martin-chasseur cannelle n’est pas étudié depuis longtemps par l’UICN, il a été classé dans la catégorie EW dès son apparition dans la liste rouge, en 2015. En réalité, la centaine d’individus restants est répartie dans des parcs animaliers et des refuges américains.

La cause exclusive de cette disparition est le serpent brun arboricole, introduit dans l’île de Guam, qui a décimé la population des martins-chasseurs. Il semblerait donc que l’homme ne soit pas délibérément responsable de cette menace d’extinction. De plus, la reproduction entre les martins-chasseurs se passe bien et un processus de réintroduction pourrait voir le jour prochainement.

Le lion de l’Atlas
Il n’y a pas que les plus petits animaux qui disparaissent, il y a aussi de grands prédateurs comme celui-ci. Le lion de l’Atlas, qu’on appelle aussi lion de barbarie, est le symbole typique des gladiateurs et des jeux du cirque dans l’Antiquité.

Ce félin a d’abord été considéré comme une espèce à part entière avant de découvrir qu’il s’agissait en réalité d’une sous-espèce du lion d’Afrique.

Le lion de l’Atlas est un carnivore très grand qui vit en groupe restreint. Puisqu’ils sont peu nombreux à vivre ensemble, les mâles aussi prennent part à la chasse, contrairement à leurs cousins. D’ailleurs, ces mâles ont une autre particularité, physique cette fois : leur crinière est très sombre et très fournie et descend sous l’encolure jusque sur les flancs.

Cela fait des décennies, en 1920 plus exactement, que le dernier spécimen à l’état sauvage a été abattu. Les rares individus dans les zoos ne peuvent être réintroduits pour le moment.

L’homme est le principal problème de cette réinsertion : braconnage, chasse des proies de l’animal… sans parler des lions en captivité détenus dans des pays qui ne sont pas sensibilisés à la préservation des espèces à l’état sauvage.

Dans un premier temps, le projet mis en place pour cette espèce est d’assurer son bon développement en captivité. À force de croisements et de reproductions succinctes, si la population actuelle vient à doubler voire tripler, on pourra envisager de relâcher un couple dans la nature. Ce couple devra être suivi et étudié assidûment avant de lancer un vrai programme de réintroduction.

L’oryx blanc        
Quand on parle d’animaux éteints à l’état sauvage, on cite systématiquement l’oryx blanc comme un exemple. Cette antilope majoritairement blanche et fauve sur la poitrine et dont la queue mesure entre 1 m 50 et 1 m 70 est éteinte dans la nature depuis l’an 2000. Elle était déclarée en voie de disparition dans la liste rouge depuis 1986, puis en état critique d’extinction en 1996.

Elle a pourtant eu une place de choix comme bétail par les autochtones dans les zones sub-sahariennes, mais face à d’autres troupeaux et d’autres espèces plus faciles à élever, la diminution de la population n’a pas tardé.

         Une antilope blanche qui se raréfie

La chasse de l’oryx a aussi décimé les troupeaux sauvages : on se nourrissait de leur viande, leur peau épaisse était utilisée en maroquinerie et leurs cornes représentaient des trophées importants. La perte de son habitat naturel au profit des élevages a aggravé cette menace d’extinction.

Aujourd’hui, on ne compte plus qu’un millier d’individus, tous vivant dans des parcs animaliers. De nombreux projets ont déjà vu le jour pour retrouver cette espèce à l’état sauvage, notamment au Maroc et en Tunisie. Les premiers datent déjà des années 60, sans grand succès jusqu’à présent.

Pourtant, tout espoir n’est pas perdu. En effet, la population en captivité est plutôt stable, des essais pour réintroduire l’espèce dans la nature sont donc possibles. Bien sûr, les individus relâchés sont, pour le moment, dans des réserves, des zones protégées, etc. Les scientifiques sont assez positifs pour qu’elle passe dans la catégorie VU dans les années à venir.

Le sténode blanc
Ce poisson blanc de la famille des salmonidés (comme la truite et le saumon) peut mesurer jusqu’à 1 m 50 et pouvait être consommé par l’homme quand il se trouvait dans la nature.

Il se plaît dans les mers froides du nord de l’Eurasie et de l’Amérique du Nord. On peut aussi le croiser dans les grandes rivières de ces mêmes étendues lorsqu’il migre dans le but de se reproduire.

Le sténode blanc a plusieurs autres noms : l’inconnu, le beloribitsa… Il se nourrit d’autres poissons plus petits à l’état adulte. Son régime est un peu plus varié quand il est à l’état d’alevin (jeune poisson) puisqu’il doit survivre entre l’endroit où il est né et la mer qu’il doit rejoindre en passant de rivière en rivière.

La construction de nombreux barrages a empêché ce poisson d’atteindre les différents lieux de frai, c’est-à-dire, les endroits où il se reproduit. L’UICN n’a pas pu réunir assez de données au fil des années. Il est classé officiellement en DD depuis 1996. On peut toutefois assurer que l’espèce n’existe plus à l’état sauvage, car on n’en enregistre plus la présence depuis longtemps. Par exemple, dans l’Oural, on n’a plus observé de sténode blanc depuis 1960.

Les individus conservés réussissent à garder une population stable grâce à l’hybridation avec d’autres espèces. La gestion d’un banc de poissons migrateurs comme celui-ci est très difficile à étudier. Voilà pourquoi, à l’heure actuelle, il est encore compliqué de faire le point sur la menace d’extinction, mais aussi d’établir une réintroduction dans la nature suivie.

Les animaux qui sont menacés de disparition, mais qui survivent en captivité, il y en a bien d’autres. On pourrait aussi parler du potosi pupfish (petit poisson), du hoco mitu (oiseau d’Amérique du Sud) ou encore de la tortue molle noire. En connaissez-vous d’autres ? Dites-le dans un commentaire.


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